On lui avait prédit qu'il y perdrait son âme. Asher Lev a écouté son cœur et il a fait son choix: celui de vivre sa passion, la peinture, quitte à abandonner la communauté juive hassidique de Brooklyn et les remontrances outrées de ses proches pour s'exiler en France. Mais vingt ans plus tard, de retour à New York pour l'enterrement de son oncle, le combat n'est pas terminé.