Reb Aryé

On l'appelait "le Tsadik de Jérusalem", mais aussi "le père des prisonniers", "le père des lépreux", "le père des orphelins", ou tout simplement "Reb Aryié", ce diminutif signifiant tout cela à la fois.

Une vingtaine d'années se sont écoulées depuis la mort de Reb Aryé Levine.

Des milliers d'anecdotes se sont, dans le monde juif, répandues sur son compte.

Cet ouvrage ne rapporte qu'une très faible partie, dont beaucoup sont inédites et que je tiens de première main de la maison de mes parents.

Un effort particulier a été fourni pour les rendre faciles à lire et accessibles à tous.

J'ai accordé la préférence à celle dont la portée morale est évidente, à celle qui distille l'amour pour la Tora, la crainte de Dieu et le désir de s'améliorer.

Que le ciel nous aide à nous inspirer, longtemps encore, de l'exemple du "Tsaddik de Jérusalem".

L'auteur, sa petite fille