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"Autrefois, lorsque l'on sentait la fin venir, que l'on consultait un médecin, on disait : j'va pas me remarier", c'est-à-dire: j'ai fait tout ce qu'il fallait dans ma vie : Je me suis mariée, j'ai eu des enfants, j'ai fait des communions, je ne vais pas refaire ma vie."
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Date de disponibilité:
ISBN | 9782911398520 |
Auteur | S. Ben Isti |
"Autrefois, lorsque l'on sentait la fin venir, que l'on consultait un médecin, on disait : j'va pas me remarier", c'est-à-dire: j'ai fait tout ce qu'il fallait dans ma vie : Je me suis mariée, j'ai eu des enfants, j'ai fait des communions, je ne vais pas refaire ma vie."
À travers des témoignages de la diaspora parisienne, l'auteur nous fait revivre l'univers traditionnel, en partie perdue, de sa communauté d'origine, la communauté juive de Tiaret, sur les hauts plateaux d'Algérie.
Une communauté qui, du début du XX e siècle à son rapatriement en France en 1962, oscillait entre tradition et modernité, francisation et judaïté.
Elle découvre aussi les mariages en cachette, les pratiques de sorcellerie d'une société plus traditionaliste mais aussi plus pratiquante, celle de la communauté juive du Mzab, installée à Aflou, aux portes du désert.
Docteur en ethnologie, sous la direction de Claude Tapia, Jean Guiart, directeur du Musée de l'Homme à l'époque, Maurice Godelier, directeur d'études des Hautes Études en Sciences sociales, elle a effectué différentes recherches sur le milieu immigré algérien et sa thèse sur un village de Malaisie.
En France, deux Tiarétiens se sont distingués: Isidore Partouche, une des plus grosses fortunes et Maurice Benassayag, ancien "Ministre des rapatriés" sous la présidence de François Mitterrand.
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